Ce feuillet décoré de différents oiseaux, d’un singe et autres petits animaux provient d’un recueil de tablatures pour luth contenant des œuvres du luthiste-compositeur italien Vincenzo Capirola († à Brescia vers 1548).
Capirola transcrit ici pour luth le Qui tolis pechata mondi, extrait de l’Agnus Dei de la Missa Pange lingua de Josquin des Prez, qu’il qualifie de chosa belisima.
Le manuscrit de petit format, réalisé vers 1517, est l'une des sources les plus précieuses pour la musique instrumentale du début de la Renaissance. On attribue la copie des tablatures et les peintures à un nommé Vidal, peintre vénitien et élève de Capirola, mais il est possible aussi, lit-on, que ce soit un pseudonyme de Capirola lui-même.
Chicago, Newberry Library, ms VM 140.C25, Compositione di meser Vincenzo Capirola, gentil homo bresano, f° 66v, 14,9 × 21,5 cm
Capirola transcrit ici pour luth le Qui tolis pechata mondi, extrait de l’Agnus Dei de la Missa Pange lingua de Josquin des Prez, qu’il qualifie de chosa belisima.
Le manuscrit de petit format, réalisé vers 1517, est l'une des sources les plus précieuses pour la musique instrumentale du début de la Renaissance. On attribue la copie des tablatures et les peintures à un nommé Vidal, peintre vénitien et élève de Capirola, mais il est possible aussi, lit-on, que ce soit un pseudonyme de Capirola lui-même.
Chicago, Newberry Library, ms VM 140.C25, Compositione di meser Vincenzo Capirola, gentil homo bresano, f° 66v, 14,9 × 21,5 cm